Bora-Bora, île de rêve

 Bora-Bora est une ancienne île volcanique. L’’île principale s’étale sur 9 km et 4 km dans sa plus grande largeur. Elle est entourée d’un très grand lagon et d’un « collier de corail »  qui présente une seule ouverture vers l’océan: la passe de Teavanui. Autrefois baptisée « Mai Te Pora » en tahitien « créée par les dieux », Bora à la réputation d’être une des plus belles îles du monde avec son lagon turquoise bordé de motus et la silhouette majestueuse de ce mont Otemanu.

La réputation de Bora Bora doit également beaucoup à la notoriété de nombreux artistes, écrivains ainsi qu’au navigateur Alain Gerbault et à l’explorateur Paul Emile VICTOR venus s’installer sur l’île.

 

Nous voici sur la Perle du Pacifique …

Notre billet d’avion pour Maupiti permettait de faire un stop à Bora Bora. Nous avions hésité à aller découvrir cette île,  tiraillés entre le fait de se retrouver au milieu d’un tourisme de luxe et notre curiosité à découvrir de ce que signifie une île qualifiée de perle du pacifique. Nous imaginions que tout allait être démentiellement coûteux, qu’il n’y aurait que de très riches touristes avec de luxueuses boutiques….qu’il nous serait difficile de s’y sentir bien, loin de l’authenticité que nous venions de connaître à Maupiti…Mais en jetant un œil sur airbnb, nous avons trouvé une forme d’hébergement qui nous rendait l’accès abordable ! Allons-y pour nous rendre compte de la réalité de Bora Bora!

 

Nous arrivons à l’aéroport ou plutôt un aérodrome qui se situe, comme à Maupiti, sur un motu, c’est à dire un îlot plat face à l’île principale. Nous sommes aussitôt subjugués par la beauté du lagon de Bora Bora qui entoure l’île. Une beauté à couper le souffle avec ce bleu qui se décline en milliers de nuances…des tonalités encore différentes de ce qu’on venait de voir à Maupiti ou encore à Moorea ! Même l’appareil photo ne nous semble pas reproduire ces couleurs avec fidélité !

Nous prenons un bateau-navette pour traverser le lagon jusqu’à la ville principale de Vaitape. Ici le bateau est beaucoup plus gros qu’à Maupiti, on sent déjà qu’il y a beaucoup plus de touristes à transporter !

 

 

Une tente tahitienne, notre hôtel !

Comme nous l’avons expliqué, c’est parce que nous avons trouvé ce mode de logement chez l’habitant, à un tarif raisonnable, que nous vous décidé de venir séjourner deux  nuits sur Bora Bora. Vous êtes certainement curieux de savoir à quoi ressemble une tente tahitienne!  Nos hôtes Airbnb Marc et Rosalie ont aménagé dans un coin de leur beau jardin une tente en bois recouvertes de matériaux naturels… Nous disposons d’une douche et toilettes privatives construites à côté! C’est le grand luxe à nos yeux, avec un super gros matelas qui a remplacé le matelas auto gonflant qui s’était  malheureusement avéré défectueux … heureusement …avant qu’on ne s’endorme ! 

Comme il fait plutôt chaud et humide en cette saison des pluies (entre 75 et 90%) , nous dormons portes ouvertes. Des spirales anti moustiques devant l’entrée nous permettent de ne pas être piqués la nuit.

Quand on pense que notre nuitée, petit-déjeuner inclus,  coûte 55€… et que d’autres dépensent entre 1000€ ( promo basse saison) jusqu’à 3000€ pour passer une nuit dans ces luxueux hôtels…Bien sur,  nous ne bénéficions pas au réveil de la vue sur le lagon, il faut marcher 100 m …et pour atteindre l’unique plage de l’île Matira, il y a 8 km. Nous ne disposons pas de piscine privative …Mais pour des tourmondistes que nous sommes, cela ne nous empêche pas de profiter pleinement des lieux . Et surtout, quel plaisir de pouvoir rencontrer Rosalie native de l’île avec qui nous pouvons échanger. Nous sommes à 20 bonnes minutes de marche de Vaitape, la petite ville principale de l’île. Nos hôtes ont pensé à tout, ils louent à un tarif très compétitif des vélos,  8€ la journée, contre le double chez un loueur.

L’ incroyable hospitalité de Rosalie et Marc

Marc et Rosalie sont des personnes extraordinaires avec un cœur en or. Nos hôtes travaillent tous deux au sein d’un hôtel  de moyenne catégorie dans les services administratifs et Rosalie explique qu’elle s’est lancée dans la location AIRBNB pour changer leur routine et rencontrer du monde. De ce fait, ils adorent offrir un repas à leurs invités , dès lors que ces derniers séjournent au moins 2 nuits. Et bien évidemment, nous partageons ce repas tous ensemble.

Le premier soir, ils nous concoctent donc un délicieux repas d’accueil que nous savourons avec 2 autres couples français qui logent dans les chambres de la maison. Marc s’adapte à notre régime de végétarien sur le vif ! Un très grand merci! Et ce joli coeur dans notre assiette est très touchant!

La soirée est très sympa à travers nos échanges pour découvrir Bora-Bora «de l’intérieur». Rosalie est une femme dynamique, plein d’enthousiasme et très active dans la liste d’opposition, en vue des élections municipales. Elle nous sensibilise aux problématiques de l’île qui connaît un fort taux de chômage chez les jeunes, ce qui entraîne délinquance, vols…La priorité est donc de recréer un tissu social, accompagner les jeunes dans leur formation pour leur permettre un débouché professionnel. Actuellement, la majorité des jeunes arrêtent leurs études au niveau d’un bac pro, faute de moyens pour poursuivre leurs études sur Papeete à Tahiti qui se trouve à 250 km.

A la différence de Maupiti, l’île vit du tourisme depuis les années 60. La piste de l’aéroport avait été construite pendant la seconde guerre mondiale par l’armée américaine, qui avait installé une base militaire sur l’île. Chaque année, environ 20 000 touristes débarquent pour une population locale de 10 000 habitants. Malgré cet afflux, l’île semble maîtriser la situation car elle a été récompensée en 2012-2013 par le Pavillon Bleu Français pour la 5° année consécutive grâce à ses efforts en matière de gestion de l’eau: dessalement de l’eau, assainissement collectif des eaux usées des hôtels et particuliers et actions de préservation de l’environnement.

 

Échanges entre « colocataires Airbnb

La Nouvelle Calédonie…une future destination peut être…

Un des couples vit en Nouvelle Calédonie et le second couple y a vécu une dizaine d’années. Ce qu’ils nous décrivent nous donne envie un jour d’aller visiter cette ile: richesse des fonds marins, culture locale encore très présente, beaucoup de randos magnifiques, authenticité… Selon eux, la Nouvelle Calédonie n’a pas grand chose à envier à la Polynésie Francaise, si ce n’est la taille de ses grands lagons avec ses magnifiques tonalités de bleus !

Un bon resto près d’Avignon en perspective à notre retour

Laurence et Benoit, couple charmant, ont travaillé une dizaine d’années dans l’administration en Nouvelle Calédonie. Puis ils nous racontent leur vie de restaurateurs en France, au sein du petit village de Lacoste dans le Lubéron et leur expérience de travail dans le château de Pierre Cardin.

Encore un exemple de couples qui a réalisé son rêve! Maintenant, ils tiennent un restaurant et bar à vins à Cairanne près d’Avignon: « Le Tourne au Verre » . Nous avons hâte d’aller tester leurs bons petits plats à notre retour! Dés que le confinement sera terminé, n’hésitez pas à aller découvrir ce lieu et donnez leur le bonjour de notre part !

Exploration du lagon en bateau, activité phare à Bora Bora

Une des meilleures façons de découvrir le lagon, est de partir une journée en bateau pour faire le tour de l’île. Au programme snorkelling, nager dans l’eau turquoise, manger  polynésien sur un bel îlot (motu) de sable blanc et voir des raies et requins.

Le guide et son second agrémentent le voyage en jouant et chantant des airs polynésiens. Nous longeons les hôtels de luxe, Four Seasons, Intercontinental, le Méridien…tous de conception analogue avec une distribution de bungalows sur pilotis de béton en forme d’arborescence. La plupart disposent de piscines individuelles. Nous réalisons qu’en fait les chambres sont relativement proches les unes des autres.

Ces hôtels 5 étoiles et plus attirent principalement la clientèle très riche américaine et française pour les lunes de miel. Les croisières amènent de leur côté les touristes chinois. Dans la baie, durant notre court séjour, nous ne verrons qu’un seul paquebot. Et sur l’île même de Bora Bora, nous rencontrons très peu de touristes. Nous sommes en basse saison. Juin, juillet et août sont les mois les plus fréquentés. Les seuls magasins pour touristes concernent la vente de perles, cette perle noire réputée dans le monde.

Couleur incroyable du lagon

Le lagon de Bora Bora est unique par sa taille et son camaïeu de bleus associé à la transparence de l’eau. En Indonésie, un reporter de TF1, que nous avions rencontré, nous avait décrit le lagon de Bora Bora comme le plus beau à ses yeux, lui qui avait parcouru beaucoup d’îles sur le globe . Je vous laisse juger.

Raies et requins à gogo

Première étape, on atteint un endroit peu profond, où les raies pastenagues et requins se côtoient. Nous arrivons quasiment les premiers sur le lieu. Nous plongeons du bateau pour se retrouver au milieu de ce monde animal. Requins et raies tournent autour de nous. Regardez la vidéo ci dessus. Les raies viennent parfois se coller aux touristes. Et il y a au moins une dizaine de requins qui tournent autour de nous. Les polynésiens invitent les touristes à caresser les raies qui ont l’air d’être apprivoisées tellement habituées au contact. D’ailleurs, leur dard leur a même été retiré pour éviter tout risque de blessures. Au fur et à mesure, arrivent d’autres bateaux et nous avons l’impression d’être dans un zoo…pas mal, le touriste debout au milieu du lagon en train de prendre des photos avec sa tablette…il n’a pas peur qu’elle soit mouillée!

En Polynésie Française, il est officiellement interdit de nourrir les requins…Mais en pratique , les prestataires de service donnent du poisson aux raies, ce qui bien évidemment attirent les requins à pointe noire, certes inoffensifs, qui viennent aussi profiter de l’aubaine. Nous ne partageons pas du tout cette pratique de nourrissage, nous sommes même étonnés qu’elle puisse encore avoir lieu. Une autre excursion qui permet de rencontrer des requins-citrons est basée également sur leur nourrissage pour les attirer au niveau de la passe du lagon: technique utilisée pour que les touristes en quête de sensations fortes puissent nager avec ces gros requins…


Une grande partie du tourisme à Bora Bora et dans toute la Polynésie Française est basée sur le nourrissage des raies et requins…Et pourtant aujourd’hui, nous connaissons l’impact écologique lorsqu’on rend ces espèces animales dépendantes de l’homme, sans compter de temps à autre les accidents qui restent encore mineurs mais quand même…morsures au niveau des mains, par exemple. Cela nous rappelle l’expérience de nourrissage des dauphins à Shark Bay en Australie. Et aux Raja Ampat,en Indonésie, nous avons pu voir certains guides commencer à lancer des poissons pour attirer les requins à pointe noire.

 

 

Décor en arrière-plan

 

 

 

Nous nous sentons mal à l’aise car lorsqu’on voit arriver tous les bateaux sur ce même spot, on comprend vite que les raies doivent être « surnourries » et chacun des touristes qui touchent les raies déposent au passage ses bactéries et éventuellement de la crème solaire toxique pour l’environnement.

A ma question à ce propos, notre guide ne comprend pas où est le problème….Cela fait des années que c’est ainsi, c’est son métier. Nous nous rendons compte qu’il faudra encore beaucoup de temps pour developper une conscience écologique…

Repas tahitien au son des chants polynésiens accompagnés du Ukulélé et tambour

Poisson coco, thon, salade, patate douce…sont présentés sur des feuilles de bananiers et assiettes tressées.

Nous profitons de la belle plage de sable blanc pour se baigner … quel immense plaisir que de voir des raies nous approcher sans qu’elles aient été nourries ! Comme quoi cela est possible ! En longeant la plage, Francis ramasse un coquillage à la jolie forme : le Lambis Rugosa aux teintes orangées. A ce moment là, un polynésien, guide sur un autre bateau, arrêté à une centaine de mètres, se met à hurler qu’il faut reposer le coquillage; ses propos sont très agressifs et on nous expliquera plus tard que ce coquillage peut être vénéneux!?  Il faut bien admettre que notre curiosité associée à notre ignorance auraient pu  « tourner court », mais nous avons été très choqués de la façon dont cet homme nous a interpellés…très loin de l’accueil  polynésien !

Vue depuis le motu sur les montagnes de l’île 

« Vol » de raies léopard

Apres le repas, nous repartons en bateau et là, chance inouïe , un groupe de raies léopards. Nous les suivons pendant un long moment en nageant. Elles se déplacent gracieusement, c’est féerique, on croirait un vol d’oiseaux migrateurs ( cf. la vidéo ci-dessus). Une nouvelle expérience à notre palmarès …quelle beauté, élégance…un vrai ballet tout en lenteur!  Cette espèce est appelée raie léopard car sa robe gris foncé/noire est tachetée de points blancs sur le dos. Sa queue a 5 dards et à la différence des raies pastenagues qui se nourrissent de poissons et planctons , celles ci s’alimentent de crustacés.

 

Snorkelling

Nous avons la chance d’être les seuls à ce moment là sur des petits récifs coralliens  où nous pouvons observer beaucoup de poissons colorés et des bénitiers aux diverses couleurs somptueuses: bleu, émeraude, marron, violet… Ils mesurent entre 20 et 30 cm et peuvent vivre entre 8  et 20 ans. Dans les îles Raja Ampat en Indonésie, nous avions pu en voir des énormes d’un mètre cinquante qui pouvaient avoir 200 ans. Dans certains atolls éloignés, ils peuvent être récoltés pour l’alimentation.

J’ai aussi pu voir une énorme murène, d’au moins 2 mètres de long, sortir complètement de sa cachette car un touriste essayait de la déranger, impressionnante par sa taille…car généralement, on ne voit que leur tête sortir de leur trou, gueule ouverte avec des petits dents bien acérées. Je garderai mes distances dorénavant par rapport aux murènes…encore que généralement, elles n’attaquent que pour se défendre.

 

Nous n’avons toujours pas d’appareil photo pour vous partager les splendeurs sous-marines. Une des personnes rencontrées a été formidable et nous a partagé quelques unes de ses vidéos sous-marines (voir la vidéo ci dessus) Et les photos des bénitiers et murène sont tirées du net pour vous donner une aperçu .

 

Bora Bora à vélo

Nous nous sentons tellement bien chez Marc et Rosalie, et finalement nous sommes séduits par la beauté de l’île, que nous prolongeons d’une nuit notre séjour sous notre tente tahitienne!

Nous avions envisagé de faire le tour de l’île en vélo, mais la chaleur humide nous dissuade de faire les 70 km. ! Nous nous arrêtons à la belle plage de Matira, à 10 km.

Nous louons pour quelques heures un kayak pour filer à fleur d’eau et se laisser éblouir par les couleurs époustouflantes du lagon. Les couleurs sont encore plus fantastiques que depuis le bateau! Merci Océane pour ce cadeau de Noël .

Nous retrouvons même le coin snorkelling de la veille qui est plus agréable car les bateaux de touristes ne sont pas encore arrivés !

 

 

Pause au retour dans une roulotte

Dans les années 30 à 50, il existait des échoppes roulantes qui vendaient surtout des fruits et légumes, identique à ce que l’on peut rencontrer dans la plupart des pays d’Asie. Puis ces roulottes ont évolué, et se sont adaptées à la demande des travailleurs qui avaient besoin de manger à midi. Elles sont devenues populaires pour s’y attabler et déguster des grillades, du poisson.

Le jeune propriétaire de cette roulotte l’a « sédentarisée » en aménageant quelques tables pour s’asseoir. Il nous raconte comment il a du mal à faire fonctionner sa petite affaire, faute de touristes. A Bora Bora, tout est fait au niveau des hôtels pour garder le touriste à l’intérieur en lui proposant des formules tout-inclus. Et si le touriste veut venir sur l’île depuis son hôtel situé sur le motu, le prix de la navette bateau est dissuasif: 50€ l’aller-retour…

En chemin

La plage de Madira 

 

 

Petit cours de cuisine polynésienne avec Rosalie !

Rosalie et Marc nous ont fait découvrir une spécialité de dessert polynésien: le POE accompagné de glace à base de taro, un tubercule qui donne une couleur violette à la glace. Le POE est un dessert à base de bananes, farine de tapioca (ou manioc, c’est la même chose!) et de lait de coco.

Avec sa générosité légendaire, Rosalie nous explique la recette et ensemble, nous apprenons à réaliser ce dessert local. Sympa!

Coucher de soleil à Bora Bora

 

Marc nous indique un petit sentier près de leur maison où grimper et atteindre, selon lui, en 5 minutes le point de vue pour profiter du coucher de soleil sur le lagon. En fait, le chemin se révèle extrêmement pendu et glissant à travers les bois et buissons…en réalité il n’y a pas vraiment de chemin, on suit la pente raide! Nous débouchons sur des vestiges de l’armée américaine qui a abandonné ses canons…

Vue sur Vaitape

 

 

Nous redescendons alors qu’il fait déjà très sombre et heureusement nous croisons un habitant qui nous guide, car nous avions pris le mauvais chemin et nous nous serions retrouvés vraiment très loin de notre logement!

Beauté des paréos made-in- Bora Bora

Je profite de notre dernière matinée pour prendre le vélo et aller voir cette dame, dont on m’a parlé qui fabrique des paréos. C’est à 45 min de vélo.

En 20 min, le paréo est prêt …

La dame torsade la pièce de tissu en coton selon son savoir-faire  et le trempe dans les différentes couleurs.

Elle le déplie aussitôt, le pose sur un grand treillis au soleil, et avec son fils dépose divers pochoirs.

Regardez la vidéo ci-dessus…le résultat est rapide et magique !

 

 

Démonstration du nouage de Paréo !

Je repars avec quelques achats et Marc, toujours bienveillant est finalement venu me rechercher avec sa voiture pour que je rentre plus tôt et que j’ai encore le temps de prendre une douche avant de prendre l’avion…quelle gentillesse!

Alors quel est notre bilan après ce petit séjour sur Bora Bora?

Nous étions mitigés avant d’arriver et nous repartons heureux d’avoir fait cette halte sur Bora Bora. Dormir chez l’habitant nous a fait changer notre vision de l’île. Nous avons parlé, échangé, appris beaucoup de choses sur l’île. Nous avons adoré la beauté du lagon…il faudrait vraiment être difficile pour ne pas apprécier…et après nos 7 mois de voyage, toutes les beautés que nous avons déjà pu voir, ce lagon nous a émerveillés, car unique jusqu’à ce jour au niveau de sa couleur et son eau cristalline.  Côté richesses sous-marines, nous avons largement préféré la diversité marine des Raja Ampat en Indonésie.

Si vous avez envie de venir passer quelques jours dans ces magnifiques hôtels, pourquoi pas si votre budget le permet,  n’oubliez pas d’aller sur l’île principale à la rencontre des locaux pour entrevoir la réalité de l’île de Bora Bora. La destination est certes très touristique, mais finalement quand on prend le temps de découvrir l’île principale, on ne croise pas tant de monde que cela à vrai dire, surtout en saison des pluies. Et quelle chance nous avons eue, zéro pluie pendant ces 4 journées! 

 

L’appareil photo ne supporte plus ces paysages !

Notre second appareil-photo n’a malheureusement pas supporté la beauté des paysages …enfin plutôt l’humidité très élevée des îles …Plus moyen de l’allumer…aïe aie…peut être que le climat de la Louisiane lui permettra de se refaire une santé…Il est toujours sous garantie mais impossible d’activer cela depuis la Polynésie Française…même scénario que notre  premier petit compact destiné aux photos sous-marines…décidément….

 

 

Encore des photos si vous ne saturez pas  !

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4 Comments

  • Eliane
    Posted 9 mai 2020

    Magnifique. Merci beaucoup. Je vous embrasse

  • Rose Huguette
    Posted 9 mai 2020

    Merci pour le partage de votre séjour dans ce petit paradis. Les photos sont superbes et me font rêver. Merci pour le récit qui accompagne et me permet de ressentir la richesse de vos découvertes. Bisous à tous 2. Huguette

    • @dmin
      Posted 6 juin 2020

      Merci Huguette, bon deconfinement ! 😘

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